COEUR&SPORT

Le cœur et le sport sont intimement liés : ils partagent une même passion pour la vie et l'énergie. Le cœur est l'organe essentiel qui nous permet de pratiquer un sport avec plaisir et intensité.

Lorsque nous nous engageons dans une activité sportive, notre cœur bat plus rapidement, pompe le sang et l'oxygène dans tout notre corps. Il nous donne la force nécessaire pour repousser nos limites, pour nous dépasser et pour persévérer dans nos efforts. Le sport est un véritable stimulant pour notre cœur, il le rend plus fort et plus résistant.

 

Mais au-delà de l'aspect physique, le sport nourrit aussi notre cœur émotionnel. Il nous procure des moments de joie, de camaraderie et de dépassement de soi. Il nous permet de créer des liens avec d'autres passionnés, de partager des valeurs communes et de vivre des émotions intenses. Le sport peut être un véritable moteur pour notre bien-être mental et émotionnel.

Notre cœur est lui-même un grand sportif: nous devons prendre soin de lui car chacun de ses battements nous rappelle que nous sommes vivants  !

 

La réalité des statistiques qui suivent nous oblige à rester vigilant.

QUELQUES CHIFFRES CLEFS

SUR LA MORT SUBITE

  • 60 000 décès par an en France
  • La mort subite survient 3 à 4 fois plus souvent chez l’homme que chez la femme.
  • Le mécanisme de la mort subite est un trouble du rythme ventriculaire dans plus de 80% des cas
  • En France, le taux de survie à une mort subite sans séquelles neurologiques majeures, est inférieur à 3% (contre 20 à 40% dans les pays scandinaves et anglo-saxons)
  • 1/3 des victimes ont moins de 55 ans. 
  • 600 à 1200 cas par an de mort subite lors d’activités sportives encadrées dont en moyenne 1 à 2 par semaine de moins de 35ans

QUELQUES CHIFFRES CLEFS

SUR LES MALADIES CARDIOVASCULAIRES

  • 1 million de personnes souffrent d’insuffisance cardiaque
  • 400 morts par jour.
  • 100 000 infarctus du myocarde par an dont 12 000 décès
  • 1ère cause de mortalité chez la femme
  • 1ère cause de mortalité dans le monde
  • La mortalité d’un arrêt cardiaque reste supérieure à 95%
  • Le coût des maladies cardiovasculaires : 17, 9 milliards